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Année polar numéro 1

L’année scolaire s’achève et les vacances approchent. Un break d’un mois salutaire, tant ces derniers mois furent denses. Denses car depuis septembre dernier, il s’en est passé des choses : plusieurs publications dans le cadre de mon activité de journaliste, sortie de notre troisième jeu (Atlas pour les Éditions les Arènes) et bientôt du quatrième (fin août), bouclage du cinquième (sortie en 2023), participation à plusieurs festivals, et surtout la parution de mon premier roman, Le Chat qui ne pouvait pas tourner (Les Arènes). Sans oublier la fin des corrections du polar numéro 3 et la reprise de l’écriture du 4. 

Mon polar numéro 1 est donc sorti le 17 mars. Une date ancrée dans ma mémoire. Et le début d’une aventure. Quelle étrange entreprise que celle de publier un roman, qui dit tant de soi-même ; une intimité que l’on expose à des inconnu.e.s, qui vous renvoient à leur tour ce qu’ils ont aimé ou pas. Des critiques parfois enthousiastes, souvent positives, mais pas seulement. Certaines m’ont beaucoup touchées ; d’autres m’ont irritées. Mais je les prends toutes. Le Chat vit à travers elles. Une vie à lui, que je ne maîtrise pas. 

Pour ce dernier post de l’année scolaire, j’ai eu envie de publier des extraits de ces retours, emballés ou sceptiques, mitigés ou enflammés. Libraires, ami.e.s, blogueurs-euses, famille… Je remercie toutes celles et tous ceux qui ont pris la peine de rédiger un article, un post, un SMS ou un mail. Ces mots sont précieux. Je les garde, telle la preuve irréfutable que mon rêve est devenu réalité : j’ai publié un roman et il a été lu.

  • « Les personnages ont une sacrée étoffe et toutes les réflexions de l’auteure sur la psyché humaine sont vraiment intéressantes. Un grand bravo. »
  • « J’ai été emporté par l’histoire de bout en bout. Je ne m’attendais pas du tout à la fin et à ce retournement spectaculaire. C’est de plus très agréable à lire car bien écrit. Je l’ai lu comme on lit un « Fred Vargas ». »
  • « Attention nuits blanches en perspective, un vrai rythme, des personnages inattendus dans le monde du polar, un coupable là où on ne l’attendait pas… pour un coup d’essai, c’est un coup de maîtresse. »
  • « On ne l’aime pas forcément, ce personnage [David Sterling], mais on a quand même envie de l’aider à résoudre cette enquête et surtout, il nous fait passer un excellent moment de lecture. À découvrir sans hésitation. »
  • « Sans péripéties superflues ou personnages foisonnants qui fassent embouteillage, dans son bel ordonnancement classique, voilà un policier comme nous les aimons, mais tels qu’aujourd’hui ils se font rares. »
  • « Félicitations. On le lit comme du petit lait. Très agréable. Bravo ! »
  • « Exercice de style réussi. J’attendrai avec plaisir le second ! »
  • « Très bien écrit et suspens jusqu’au bout. »
  • « Dotée d’un style d’écriture au talent indéniable, Anne Dhoquois nous embarque dans le monde du crime parisien comme si on y était. Et c’est presque déçue de l’avoir déjà fini que je referme ce livre. » 
  • « Au final c’est pas mal, mais pas transcendant non plus : il y a plein de personnages qui sont posés, mais un peu trop rapidement pour que l’on s’y attache et qu’on trouve un liant dans tout ça ; L’enquête est longue, pour finalement suivre des pistes que l’on sait fausses dès le début. »
  • « On savoure chaque phrase, chaque page, et chaque début de chapitre agrémenté de jolies citations qui font écho à l’histoire. On apprécie les petites touches d’humour. Et surtout, on poursuit un assassin insaisissable jusqu’à la fin, très surprenante.A lire pour les amateurs du genre et pour celles et ceux qui veulent se lancer dans le polar. »
  • « Dès les prémices de l’enquête, le lecteur comprend qu’il est face à un polar d’un classicisme absolu. Un classicisme qui n’a rien de déméritant en soi mais dont il aurait fallu parvenir à se détacher afin de proposer quelque chose de plus original, qui aurait permis au récit de se démarquer du reste de la production littéraire policière. »
  • « Une intrigue urbaine, moderne qui se conjugue à une réflexion plus générale sur le sens de l’existence. »
  • « Policier-thriller de très bonne facture. Style alerte, personnages extrêmement bien dessinés. Récit mené au galop avec chapitres courts et humour. Bon suspense avec chute difficilement prévisible. Très bon moment. »
  • « Une écriture efficace et visuelle. Des paysages urbains très ressentis, qu’on a le sentiment d’arpenter en compagnie des personnages. Les dialogues coulent, et on ne s’ennuie pas à un seul moment. Les personnages y deviennent des sortes d’amis, même lorsqu’ils ont l’âme sombre, même lorsqu’ils sont peu fréquentables. »
  • « Polar très sympathique et très agréable à lire dans lequel on fait la connaissance du capitaine Sterling, flic acharné mais solitaire. On y rencontre aussi une multitude de personnages bien décrits et un tueur fou. À lire pour les amateurs et pour celles et ceux qui veulent se lancer dans le polar ! »
  • « Un vocabulaire riche, des détails précis pour camper une scène, une touche de féminisme, des phrases bien balancées avec parfois des piques d’humour ou des expressions familières qui font sourire.
    Tout pour faire un polar sympa qu’on ne lâche pas. On attend la prochaine enquête de Sterling. »
  • « Anne Dhoquois nous offre avec ce premier roman une expérience à la fois confortable et dérangeante, confortable car le lecteur retrouve facilement ses marques dans les méandres d’une enquête policière classique, mais se retrouve bousculé dans ses certitudes par un anti-héros aux facettes multiples et une narration originale, presque à la « Columbo », distillant de fausses pistes dont, pour une fois, seul le principal protagoniste fait les frais. »
  • « L’intrigue stagne quelque peu, et le lecteur a bien du mal à s’intéresser réellement à ce personnage [David Sterling] un peu fantomatique au sein d’une histoire qui, contrairement au chat du titre, tourne en rond. »
  • « On entre dans « Le chat », comme dans un paysage familier, Paris, on frémit au souvenir de nos promenades nocturnes sur les quais de la Seine ou dans des rues désertes quand le soir tombe. On a l’impression de mener l’enquête avec Sterling et son équipe et ce d’autant plus que les rouages policiers et judiciaires sont rigoureusement décrits. »
  • « Tu devrais l’envoyer à Netflix pour une adaptation. »